En Tunisie, pour avoir accès aux nouvelles du pays on est contraint de mettre trois milles proxys, visiter des sites suspects, sans aucune garantie sur l'authenticité de l'information qui y circule et n’ayant aucune idée sur l'enjeu la mise en ligne de cette dernière, ou pire encore, voir les journaux des pays voisins comme l’Algérie ou la France!
De wikileaks aux livres listés ‘noir’ comme le fameux ‘régente de Carthage’ la presse alternative agit, mais peut on lui faire confiance ? et jusqu’à quand notre presse ‘étatique’ avec ses faux journalistes va nous considérer comme des attardés mentaux ?
On cache tellement de choses, on change tellement de vérités, et camoufle tellement d’autres, que j'ai peur d'apprendre un jour la mort du 'président' (chose que je ne souhaite pas) dans une chaîne libyenne par hasard ou dans une publication Facebook de source canadienne..
Stupide état, stupide nation. Ne nous laissez pas dans le brouillard!
Avec cette politique despotique, qui est entre autres ennemie d’internet, on ne fait que laisser les simples discussions hypothétiques devenir des Faits, car après tout, il n’y a pas assez de fiabilité dans l’information gouvernementale pour les contrer. L’effet inverse se produit face à la privation exagérée d’accès à la bonne information: il y a plus de recherche du coté du citoyen moyen, plus d’investissement pour savoir ce qui se passe, car il sait très bien que dés lors que le panier des courses augmente de prix trois fois par ans, voire plus, il y a des plein de choses qui ne tournent pas rond.
A cause de nôtre presse, le manque de confiance a régné au point que la moindre des rumeurs, fondée ou pas, peut maintenant déclencher un tremblement de terre, et ses secousses commencent à se sentir déjà.
La censure n’a fait que verser de l’essence sur le feu déjà allumé, et plus nôtre chère chaine nationale, tunis 7,qui nous prend pour des cons depuis deux décennies au moins, va nous annoncer des absurdités et des fantaisies du genre ‘le pays de la joie éternelle’, plus elle va transformer le plus simple des ménages en un militant suspicieux et prêt à s’embraser , car il sera bousculé par la quantité phénoménale de mensonges et des comédies qui y sont diffusés.
Dans la métaphore qui veut que l'état soit le père du peuple, celui qui l'élève, je dirais qu'il est bien temps de faire part à cet enfant, que nous sommes, des plans futurs et des vraies contraintes d'aujourd'hui, le faire intervenir dans vie politique active, car un enfant respecté et responsabilisé sera aimant et prodige.
Le peuple bouge et en a ras le bol. D’abord pour une liberté virtuelle, ensuite pour une étiqueté sociale, contre la corruption si visible et contre le manque de perspective.
Espérons que tout cela ne tourne pas mal... Car un peuple désinformé peut facilement être dupé, et les loups profiteurs guettent silencieusement après avoir mis le feu..
De wikileaks aux livres listés ‘noir’ comme le fameux ‘régente de Carthage’ la presse alternative agit, mais peut on lui faire confiance ? et jusqu’à quand notre presse ‘étatique’ avec ses faux journalistes va nous considérer comme des attardés mentaux ?
On cache tellement de choses, on change tellement de vérités, et camoufle tellement d’autres, que j'ai peur d'apprendre un jour la mort du 'président' (chose que je ne souhaite pas) dans une chaîne libyenne par hasard ou dans une publication Facebook de source canadienne..
Stupide état, stupide nation. Ne nous laissez pas dans le brouillard!
Avec cette politique despotique, qui est entre autres ennemie d’internet, on ne fait que laisser les simples discussions hypothétiques devenir des Faits, car après tout, il n’y a pas assez de fiabilité dans l’information gouvernementale pour les contrer. L’effet inverse se produit face à la privation exagérée d’accès à la bonne information: il y a plus de recherche du coté du citoyen moyen, plus d’investissement pour savoir ce qui se passe, car il sait très bien que dés lors que le panier des courses augmente de prix trois fois par ans, voire plus, il y a des plein de choses qui ne tournent pas rond.
A cause de nôtre presse, le manque de confiance a régné au point que la moindre des rumeurs, fondée ou pas, peut maintenant déclencher un tremblement de terre, et ses secousses commencent à se sentir déjà.
La censure n’a fait que verser de l’essence sur le feu déjà allumé, et plus nôtre chère chaine nationale, tunis 7,qui nous prend pour des cons depuis deux décennies au moins, va nous annoncer des absurdités et des fantaisies du genre ‘le pays de la joie éternelle’, plus elle va transformer le plus simple des ménages en un militant suspicieux et prêt à s’embraser , car il sera bousculé par la quantité phénoménale de mensonges et des comédies qui y sont diffusés.
Dans la métaphore qui veut que l'état soit le père du peuple, celui qui l'élève, je dirais qu'il est bien temps de faire part à cet enfant, que nous sommes, des plans futurs et des vraies contraintes d'aujourd'hui, le faire intervenir dans vie politique active, car un enfant respecté et responsabilisé sera aimant et prodige.
Le peuple bouge et en a ras le bol. D’abord pour une liberté virtuelle, ensuite pour une étiqueté sociale, contre la corruption si visible et contre le manque de perspective.
Espérons que tout cela ne tourne pas mal... Car un peuple désinformé peut facilement être dupé, et les loups profiteurs guettent silencieusement après avoir mis le feu..